vendredi 13 avril 2007

Poeme du soir

Eau feu à en faire bruler mes veines
Vent terre, ventre à terre je lui ai pardonné
et pourtant éléments

Oh dieu, odieux présage
Le reve de cette nuit, le message
Un corps étrangé est rangé près du sien
Qui d'autre que moi peut prendre ce sein

Son souffle a balayé le dernier espoir
Sa sueur colle à une autre peau, amer
La flamme que tu as éteint brule mon sang
Six pieds sous terre me donne t-il le droit de te voir

Je peux affronter les éléments et pourtant elle elle ment
Je suis vain et meme si j'etais cent,
Elle elle ment

bno

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Bin il a du talent le garçon en plus ! Franchement continue, c'est très beau.

bno a dit…

thx my friend :)

Anonyme a dit…

beau et ... touchant